Fév 282009
 
Rien n’arrête les Baodinois. Ni le froid, ni la brume. Et les aînés plus encore que les jeunes bravent chaque jour le frimas pour se retrouver le long du canal. Ils jouent aux cartes, se font coiffer, entonnent des chants ou taquinent leurs oiseaux par zéro. Cette ville est décidément pleine d’énergie.

Baoding, (c) Yves Traynard 2009
Le maître chanteur

Baoding, (c) Yves Traynard 2009
Un jazz band très particulier ! (*)

Baoding, (c) Yves Traynard 2009
Le calligraphe de l’éphémère(**)

Baoding, (c) Yves Traynard 2009
L’atelier du peintre

(*) De gauche à droite : le Sheng (orgue à bouche) et trois instruments à cordes frottées (famille des hu). Hors champ, la chanteuse et la percussionniste.
(**) Simple tracé à l’eau sur le sol clair.