Fév 282006
 

Avec le cours de Georges Jay ingénieur agricole et consultant nous entrons dans le vif du métier. Il était temps ! Notre enseignant oppose deux visions du développement :

  • celle , exogène, qui a prévalu longtemps, basée sur la primauté de l’économique et où la croissance est synonyme de développement ; c’est le temps des grands projets d’assistance portés en partie par l’idéologie et la guerre froide,
  • celle, endogène, née avec le tiers-mondisme où d’autres dimensions sont intégrées telles que le social, l ’environnemental et la responsabilité transgénérationnelle.

Les exemples qu’il nous présente sont issus de projets qu’il a conduits en Afrique de l’Ouest. Ils possèdent de grandes similitudes avec ceux réalisés par SOS SAHEL : appui aux dynamiques locales, mise en place d’une filière autour du maraîchage, système de micro-subventions…

Tout cela est passionnant, la salle en redemande !